Aujourd’hui, il est admis qu’une taille respectant l’équilibre de la vigne (deux bras et non une tête de saule), des plaies non mutilantes avec des cônes de dessèchement sur le bois de 2 ans et le respect des flux de sève participent à la longévité de la vigne et à limiter la présence de symptômes de maladies du bois. La préservation du bois vivant par la taille permet d’améliorer les quantités de réserve d’amidon et permet à la vigne d’être résiliente face aux divers stress biotiques (maladies du bois et autres maladies cryptogamiques) et stress abiotiques tels que le gel et le stress hydrique.